Les Travaux

En 2024

Une table de pique-nique a été installée au Marais du Verne.
La barrière, qui avait été dégradée et le panneau de restriction aux véhicules qui avait été « emprunté », ont été remplacés. L’accès à ce site protégé est interdit à tout véhicule sauf autorisation préalable de la mairie.

A la salle polyvalente, une ouverture a été réalisée dans un mur afin d’optimiser l’espace. Le local de rangement s’est transformé en un joli coin bar.
L’ancien siège de l’équipe de foot a été mis à disposition du Brass Band Saulzetois. Une porte isolante, un volet roulant et une pompe à chaleur ont été installés.

Une partie des accotements ont été busés et remblayés chemin de l’Ancoutay et rue du Champ Billom.
Une structure de jeu a été acquise et installée dans l’espace vert situé le long du chemin des Amoureux, derrière le lotissement du Clos Saint Julien.
Sur ce même espace vert, le terrain a été préparé pour recevoir une haie libre qui protègera l’intimité des résidents du lotissement et fera le bonheur de la faune.

Comme prévu, deux bancs en granit ont trouvé leur place près des columbariums au cimetière.
De nouveaux panneaux signalétiques ont été apposés pour indiquer :  Le passage sécurisé des piétons, le WC public, la voie verte et le parking.

 

40 luminaires ont été remplacés dans le village par des dispositifs led de dernière génération.
Quelques-uns, non indispensables, ont été supprimés sur conseil du
Syndicat Départemental d’Énergie (SDE).
Cela permet :
Une baisse de notre consommation
Une diminution du coût d’entretien car ce dernier est
proportionnel à l’ancienneté des installations.
De réduire la pollution lumineuse, néfaste pour la faune, la flore,
la fonge, les écosystèmes, sans compter les effets avérés sur la santé
humaine.

Au marais du Verne

Les travaux ont consisté dans un premier temps en un arrachage / broyage d’un foyer de Cotonéaster, espèce exotique envahissante qui menace de s’étendre sur la partie Sud du marais. En lieu et place de ce foyer, et à la faveur des travaux d’arrachage, une dépression a été conservée de manière à créer une mare. La zone traitée est d’environ 230 m². C’est la seule poche de recolonisation insuffisamment traitée par de récents travaux de décapage de 2020. Plus largement, un décapage a été effectué sur toute la partie Sud du site afin de maximiser l’engorgement et la mise en eau régulière de l’ensemble du site. De cette manière, la roselière pourra s’étendre davantage et bénéficier aux espèces cibles (odonates et pollinisateurs sauvages). L’emprise de la zone décapée est d’environ 2 900 m².
Le niveau topographique de référence est pris sur la roselière existante, et a été abaissé d’une vingtaine de centimètres afin de garantir la mise en eau du site. Des travaux visant à redynamiser la roselière ont également été prévus sous la forme d’une fauche sur une partie de la roselière existante, soit environ 6 600 m².


La totalité des roselières n’est pas traitée avec cette technique, car une partie du site a déjà fait l’objet de travaux de restauration par décapage en 2020. La roselière située à l’Ouest du site a donc bénéficié de ces travaux pour se régénérer.
Les inventaires complémentaires menés au cours du temps ont fait ressortir d’autres odonates à enjeux de conservation mais non protégées, telles que l’Aeschne isocèle notamment.
L’espèce n’a pas été revue au cours des derniers suivis de 2023.
Plusieurs espèces d’oiseaux réglementairement protégées et à forts enjeux de conservation en Auvergne fréquentent potentiellement le marais en période de migration ou d’hivernage, comme les Sarcelles d’hiver et d’été, la Bécassine des marais ou encore le Bruant des roseaux.