Les membres du conseil municipal et les membres de « la Perdrix Saulzetoise » se sont retrouvés samedi 11 décembre 2021 au lotissement du Clos Saint-Julien. Après la signature d’une convention entre la mairie et la société de chasse représentée par Christian FONCELLE, son Président, Jean-François HUMBERT a remis à ce dernier les clefs du nouveau local communal.
Comme c’est le cas pour d’autres associations, les chasseurs devront veiller à la préservation ainsi qu’à l’entretien du bâtiment mis à leur disposition pour une durée d’un an, renouvelable par tacite reconduction. Monsieur le Maire a rappelé que la totalité des travaux a été réalisée par les employés communaux, en un temps record afin que le local soit prêt avant la fin de la saison de chasse. Au nom des chasseurs présents, Christian FONCELLE a remercié la municipalité.
Ce mercredi 15 septembre 2021, Monsieur Jean-François HUMBERT, Maire de Saulzet a remis le premier prix au gagnant du jeu organisé par la municipalité et visant à récompenser le 5000ème visiteur du site internet saulzet.fr. Pour rappel, le site officiel de la commune a été mis en service à la mi-décembre 2020. Le jeu était organisé du 01er juillet au 31 juillet 2021. Pour participer, il suffisait de se connecter chaque jour et d’envoyer ses coordonnées aux administrateurs du site. C’est Daniel TOUREAUX, jeune retraité de Saulzet qui a été le 5000ème à se connecter le 18 juillet 2021.
Il s’est vu remettre un bon d’achat d’une valeur de 100 euros qu’il a choisi de dépenser dans l’enseigne Agri-Discount, entreprise installée à Saulzet en bordure de la RD2009. Très ému, Daniel TOUREAUX a remercié la Commission Communication de la Commune ainsi que tous les élus présents. “J’ai souhaité que ce bon d’achat soit utilisable auprès de
Agri-Discount car je trouve normal d’en faire bénéficier une entreprise de Saulzet” a-t-il ajouté.
La municipalité a souhaité récompenser celles qui sont passées si prêt du but même si cela n’était initialement pas prévu.
Aussi un lot de consolation a été remis à : Mme Marine VIERA DA SILVA, habitante de Saulzet qui a été la 4999ème connectée ainsi qu’à
Mme Chantal FAYE, habitante de Jenzat qui a été la 5001ème connectée.
A ce jour, le site internet compte 6700 connexions, un beau succès.
Même si la MAM D’API accueille les enfants depuis le 1er septembre 2021, c’est vendredi 1er octobre à 19h00 que les locaux ont été officiellement inaugurés au 19 rue des Bernards à Saulzet.
Près de 40 personnes ont répondu présentes à l’invitation de Mélissa, Marie Claire et Julie.
Ces trois dernières ont ainsi eu l’occasion de remercier, les différents acteurs qui ont soutenu l’association :
En premier lieu, Mr Jean François Humbert, Maire de Saulzet ainsi que les membres du conseil municipal, pour leur aide financière mais aussi matérielle.
Monsieur le maire a souligné la nécessité d’une mam pour la commune et a réitéré son soutien aux associations et entreprises. “La structure est installée à proximité du carrefour où se croisent la D327, la D117 et la rue de la Dame Jaune. Ce carrefour est accidentogène en raison de la vitesse de passage trop élevée des usagers. Courant 2022, ce carrefour sera aménagé pour faire ralentir les véhicules”, a-t-il rappelé.
Nos trois nounous n’ont bien sûr pas oublié de témoigner leur reconnaissance à :
L’Agence locale du Crédit Agricole, représentée pour l’occasion par Catherine ROUGIER (Directrice) , Bernard MONTGIRAUD (Vice-Président) et Hugo DUMESNIL (Conseiller Pro).
Agnès MONNOYE et Fabienne PEREZ, les assistantes maternelles de la Mam d’Ebreuil Mam’A Mia , pour leur accueil au sein de leur structure et leur aide technique.
Catherine CHOLLET, leur homologue Saulzetoise.
VirginieFORESTIER, la responsable du Relais Petite Enfance du secteur d’Ebreuil.
Viviane PORTIER et Maggy DORARD, responsables du secteur de Gannat et de Saint Pourçain Sur Sioule ayant été excusées de leur absence.
Et pour finir, les personnes sans qui rien n’aurait été possible, les nombreux ouvriers bénévoles et tout particulièrement Cédric MARIDET.
Un moment de partage et de rencontre avec tous les parents des p’tits loups de la Mam est prévu autour d’un goûter pendant les fêtes de fin de Noël.
La commémoration du 08 mai 1945 s’est déroulée sans public conformément aux directives gouvernementales. Vos élus ont cependant tenu à vous faire partager la cérémonie.
Cela avait été proposé lors de la réunion du conseil municipal le
26 février 2021.
Le blason de la commune figure désormais sur les plaques des rues du village.
Fabriqués pour quelques dizaines d’euros seulement, les stickers, résistants aux intempéries, ont été apposés entre le 10 et le 12 mai 2021 par deux élus, Alain JACQUET et Gérard MARTIN.
Dominique JACQUET, passionné de belles mécaniques. Bonjour Dominique, peux-tu te présenter à ceux qui ne te connaissent pas encore ? Je suis natif d’Abrest. Ma famille et moi sommes installés à Saulzet depuis une vingtaine d’années. Retraité depuis 9 ans, j’ai exercé pendant 46 ans dont 40 ans comme dirigeant d’entreprise dans le secteur professionnel des fermetures du bâtiment. Je suis marié à Valérie, conseillère municipale à Saulzet et nous avons une fille, Maeva qui est photographe professionnelle.
Peux-tu nous parler de ta passion, nécessite-t-elle des compétences particulières ? J’ai plusieurs passions, la plus importante, les voitures anciennes. A la base je n’étais pas mécanicien, je pouvais faire de la petite mécanique ou de l’entretien, mais entreprendre le démontage complet d’un moteur et le remonter nécessite des compétences pour lesquelles je dis souvent merci aux copains. Les voitures anciennes sont plus faciles à réparer que les nouvelles qui sont bourrées d’électronique. Sur les véhicules d’époque, il est impératif d’avoir les revues techniques avant de mettre les mains dans le cambouis, et surtout de prendre des conseils auprès des anciens mécaniciens ou de copains qui connaissent beaucoup mieux la mécanique que moi ; de plus, cela permet de créer des liens d’amitié.
Est-ce un bon investissement d’acquérir ou de restaurer un véhicule ?
Possèdes-tu plusieurs exemplaires, un modèle a-t-il plus d’importance à tes yeux ? Acquérir une voiture ancienne, c’est avant toute chose, évaluer les réparations, cela peut devenir très vite source de problèmes, il faut s’armer de patience car une restauration peut durer plusieurs mois voire plusieurs années. Personnellement, je pense que mieux vaut choisir un véhicule en état, roulant, pour reprendre la route immédiatement et ainsi utiliser son jouet plus rapidement. Faire des réparations au fur et à mesure de ses moyens, retrouver les pièces quelquefois rares, cela peut imposer de passer par des professionnels, de plus il est difficile de trouver les mécaniciens qui ont le savoir-faire pour nos vieilles mécaniques. Aujourd’hui je possède différentes marques : Peugeot, Renault, Mercedes, Citroën, datant de 1955 à 1982. Ce sont toutes des voitures populaires, et même si la cote monte doucement, pas question de les revendre. Une passion, ça se transmet et ces modèles font partie du patrimoine, même si l’avenir devient un peu plus sombre concernant les moteurs thermiques. Une restauration importante m’a marqué : une Renault 4L a nécessité plus d’un an de travail, entre les freins et surtout la carrosserie refaite avec deux copains. C’était un cadeau d’anniversaire pour mon épouse, il fallait que la voiture soit prête dans les délais. Toute la famille est passionnée, chacun a sa voiture ancienne, mon épouse, ma fille, mon gendre, et moi, bien entendu.
Comment cette passion est-elle née chez toi ? La passion pour les voitures anciennes vient souvent de notre enfance ; nos parents ou grands-parents avaient des voitures des années 40, 50, 60 ou 80. On peut encore trouver ce type d’auto dans le fond d’un garage ou d’une grange. Une passion peut naître avec d’anciens souvenirs. Pour ma part, j’utilisais des HY Citroën (tube) dans l’entreprise où je travaillais. J’ai fait l’acquisition de ce véhicule populaire et mythique voilà 16 ans. Il s’agit d’un modèle de 1973 avec un moteur de DS. Plus tard, j’ai acheté une Peugeot 203 de 1955. Ce n’est pas anodin : lorsque j’avais 10 ans, un voisin avait une 203 camionnette avec laquelle on allait dans le Puy de Dôme pour ramasser des escargots avec mon père ; depuis mon siège au milieu, je ne lâchais pas des yeux le Lion à l’avant du capot parce qu’il donnait l’impression de nous guider dans les virages. C’est bizarre comment commence une passion, il y a plein d’autres sources, le bruit du moteur, la ligne de la carrosserie, l’odeur et j’en passe…. Plus jeune, j’aimais déjà les voitures, je souhaitais être électricien dieseliste auto, mais cela ne s’est pas fait, j’ai suivi une autre voie, un métier dans les fermetures que j’ai exercé toute ma vie.
Quelle est, en général, la réaction des gens lorsque tu circules avec un de tes bijoux ? Lorsque l’on croise les gens sur la route avec nos anciennes, ils nous font souvent un signe de la main, beaucoup sourient et prennent des photos. Le public vient souvent sur nos manifestations pour découvrir la richesse d’un patrimoine fabuleux laissé par les constructeurs automobiles depuis plus de 130 ans et qu’il faut absolument conserver ; les voitures anciennes de toutes les époques doivent être protégées.
Tu parles de manifestations, tu es donc en contact avec d’autres passionnés comme toi alors ? Je suis souvent en contact avec des centaines de passionnés de véhicules de collection. Je suis président de l’association « Les Vieilles Soupapes de Chantelle » depuis 2015 qui est composée de plusieurs commissions. Je suis aussi délégué départemental de l’Allier pour la Ligue Auvergne pour Véhicules de Collection, 11 clubs qui partagent la même passion. De plus, je suis également adhérent du Musée de l’Automobile de Bellenaves, et membre de la Fédération Française des Véhicules d’Epoque… Pas le temps de m’ennuyer !!! Cliquez pour accéder aux sites ⇓
L’association des Vieilles Soupapes de Chantelle organise 4 manifestations qui réunissent plus de 400 voitures à chaque fois, que ce soit des anciennes de collection et des youngtimers *, tracteurs et motos ; et bien sûr des sorties internes au club sont organisées, sans compter les autres sorties extérieures avec les clubs amis ; nous sommes le deuxième club le plus important de la région. * Les youngtimers sont des véhicules qui ont aujourd’hui entre 20 et 40 ans, mais surtout qui sont devenus rares
Est-il envisageable que les Saulzetois puissent profiter un jour d’une manifestation ou d’une exposition de véhicules anciens ? A ce jour, sur notre commune de Saulzet, il y a plus de 20 voitures anciennes et également beaucoup de motos, nous pourrions peut-être avoir un club sur Saulzet…
Ce serait un plaisir d’organiser une manifestation sur la commune comme cela a déjà été fait par le passé en collaboration avec le comité des fêtes et de proposer des balades en voitures anciennes et des expositions.
Merci Dominique de nous avoir fait partager un peu de ta passion.
Saulzetois depuis 14 ans, Jérôme Busserolles, 47 ans, marié et papa de deux adorables petites filles a réalisé un exploit en participant à un ironman et surtout en le terminant dans des conditions extrêmes. Rencontre avec cet enseignant chercheur en biologie à l’université d’Auvergne pour mieux comprendre sa passion pour le sport extrême.
Jérôme, depuis combien de temps pratiques-tu un sport et en particulier la course à pied ?
Je pense avoir toujours fait du sport. Du football, d’abord dans mon village natal (au CS Thiel sur Acolin), pendant presque 30 ans. Une grosse entorse du genou, non soignée -mea culpa- m’a empêché de continuer encore 30 ans ! Tous les sports nécessitant des changements d’appuis ne me sont plus possibles. Je me suis donc mis à la course à pied (CAP), en plus de randonnées VTT.
Un marathon pour mes 40 ans était mon premier objectif chronométré. Je ne l’ai couru que pour mes 42 ans (Buenos Aires, à l’occasion d’un voyage professionnel). Piètre résultat (presque 4h). Meilleurs temps en 3h25 environ deux ou trois marathons suivants (Budapest, Paris, Périgueux, Lège Cap Ferret). Loin des 3h des vrais marathoniens !
Ce n’est pas la faute de l’entraînement mais d’une hygiène de vie qui devrait être plus saine. Puis on se fixe des objectifs chaque année. Alors, pourquoi pas un triathlon ?
Lors du premier à Aydat, je suis sorti de l’eau dans les derniers et je me suis dit qu’il fallait sans doute prendre des cours de natation. Puis j’ai participé à un premier « half ironman »(1900 m de nage, 90 km à vélo et 21 km de CAP) à Vichy en 2018.
Un full ironman (donc tout en double) ? jamais ! trop long ! Finalement j’étais présent sur la ligne de départ en 2019 : mon temps de natation a été correct (1h24), j’ai passé environ 7h sur la selle malgré les crampes et j’ai parcourule marathon en … 5h. Mais quelle expérience !!! Les encouragements permanents de mes filles, de ma femme, d’inconnus m’ont donné des ailes lors des tours du plan d’eau jusqu’à ce qu’enfin, à l’arrivée dans le « stade »,
résonne la phrase mythique…
« You are an Ironman » !!!
Pourquoi choisir autant de disciplines et que te procure ce changement d’entraînement ?
Je travaille en intérieur, je suis souvent assis, donc prendre l’air est capital. Le trail et le VTT permettent d’être en pleine nature ; la course sur route, le vélo et le triathlon représentent plutôt des défis avec des objectifs chronométrés. C’est un besoin, ça vide la tête, compense quelques verres et des assiettes bien remplies.
Combien de temps passes-tu en entraînement pour réussir tes objectifs ?
L’entraînement dépend de l’objectif. Pour l’ironman, c’est 6 mois minimum, 8h par semaine et jusqu’à 15h trois semaines avant l’objectif.
C’est bien entendu du temps pris sur la vie de famille. Je profite de ce questions/réponses pour remercier ma femme et mes filles pour leur soutien et leur compréhension. Je m’entraîne tantôt le matin de bonne heure ou tard le soir, quelquefois entre midi et 13h avec parfois des compagnons (Benoit, Patrice… du club d’Effiat). Beaucoup de participants ont abandonné en 2019 sur l’ironman de Vichy, à cause de la chaleur et en raison peut-être pour certains d’une mauvaise préparation. Il faut être patient, ne pas brûler les étapes, augmenter progressivement les distances, concevoir un plan d’entraînement adapté à son profil et s’y tenir, avoir aussi la chance de ne pas se blesser. J’ai aussi l’opportunité d’exercer une profession où les horaires sont flexibles ce qui me facilite « la tâche » et surtout je n’oublie jamais mes affaires de sport dans la voiture !
Quelle est la compétition importante à laquelle tu as participé dernièrement et quels sont tesobjectifs aujourd’hui ?
J’ai participé au triathlon du mont Ventoux en septembre dernier.
Les conditions étaient dantesques (orages, pluie, froid, vent évidemment).
Le triathlon s’est transformé en duathlon, la partie vélo a été escamotée (pas de sommet du mont !) mais ce fut néanmoins une belle expérience. Je n’ai pas encore d’objectif pour 2021, peut être un trail de montagne, on verra.
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Ironman est dans le langage commun du triathlon le nom donné à l’un des plus longs formats de la discipline. D’une distance totale de 226 kilomètres, une compétition Ironman, « Homme de fer » en français, est une course multidisciplinaire consistant à enchaîner 3,8 km de natation, 80,2 km de cyclisme puis un marathon (course à pied de 42,195 km).
Cette appellation est associée au triathlon Ironman d’Hawaï originel créé en 1978 par John et Judy Collins, qui est depuis 1990 le championnat du monde d’Ironman (Ironman World championships). Ironman et Triathlon Ironman sont des noms déposés, propriétés de la World Triathlon Corporation (WTC). Cette société privée organise et décerne, chaque année, le titre de « champion du monde d’Ironman » à l’issue d’un circuit de courses qualificatives et d’une épreuve finale qui se déroule au mois d’octobre à Kailua-Kona, dans l’État d’Hawaï aux États-Unis.
Sa devise, adoptée par tous les Compétiteurs les « Ironmen », est « Tout est possible ». L’Ironman dont le nom est tout d’abord celui d’une compétition à la naissance du triathlon d’endurance très longue distance (XXL), devient également au fil de son histoire, celui d’une distance (226 km), d’un mythe (Ironman d’Hawaï), d’une marque (World Triathlon Corporation) pour devenir, enfin, celui du championnat du monde de triathlon très longue distance le plus connu de la planète.
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